12 novembre 2021
Leurs trois avocats, Mes Arié Alimi, Chloé Saynac et Alexis Baudelin, saluent le fait que « la justice commence à prendre conscience de la nécessité de telles mobilisations. Elle a envoyé un message au gouvernement », martèle Me Alimi. Me Chloé Saynac enchaîne : « Les magistrats ont jugé que les poursuites pour avoir refusé de donner son ADN avaient un caractère « disproportionné » par rapport à leur action. Ils ont suivi en cela une décision de la Cour européenne des droits de l’homme sur le droit au respect de la vie privée »