28 juillet 2024
« Nous sommes face à un détournement du droit généralisé à des fins politiques, dénonce Alexis Baudelin, l’un des avocats de ces activistes. Ces gardes à vue permettent de ficher les militants, de récolter leurs empreintes, leur ADN, leur photo pour mieux cartographier les mouvances militantes et neutraliser les mouvements de protestation avant qu’ils ne se produisent. »